Victor Hugo sait-il que Brice Hortefeux ne lui pardonnera pas d‘avoir écrit Notre Dame de Paris ? Car, quand, s’offusquant des nombreuses critiques émises contre les expulsions collectives de Roms, le Ministre de l’Intérieur français déclare : « Vous êtes aveuglés par le sentiment dominant des soi-disant bien-pensants, qui, en se gargarisant de leur pensée, renoncent à agir… Que certaines voix de la gauche milliardaire aient du mal à le comprendre ne me trouble pas du tout, bien au contraire. », quand il dit cela, qui vise-t-il ? Qui, sinon ce représentant de l’élite prétentieux et éloigné des vraies préoccupations du peuple, nommé Victor Hugo ! Ce parigot boursouflé de suffisance, enrichi par la vente de livres remplis de mots trop longs et de phrases trop compliquées, qui parle du peuple sans jamais avoir fait parti d’un mouvement comportant le mot populaire dans son joli nom , comme l‘Union pour un Mouvement Populaire par exemple. Ce salonard de Victor Hugo, cette espèce de Germanopratin post soixante-huitard, éloigné des vrais problèmes du peuple et sans doute vendu à l’étranger ! Cet écrivaillon qui publie un torchon dans lequel une espèce de Rom est injustement condamnée, puis exécutée, suite aux intrigues d‘un représentant de l’autorité ! Ce qu’a écrit ce gauchisant mal intentionné est une honte. Car de quoi s’agit-il dans Notre Dame de Paris ? De donner une image larmoyante des nomades asociaux polluant l’espace public et squattant des espaces privés, mais scandaleuse de la police et de la justice, des représentants de l’ordre et des vrais Français ! Ainsi donc, dans les fantasmes de ce Monsieur Hugo, une pauvre gitane, nommée Esmeralda, serait la victime innocente des sergents de ville, des juges et de Frollo, symbole du pouvoir ? Quant à l’église, qui dans ce roman ennuyeux et trop long, a donné asile à la va-nu-pieds, de quoi se mêle-t-elle ? La dénommée Esmeralda était un trouble à l’ordre public. Elle se trémoussait de façon suggestive afin d’aguicher de bons pères de famille et de les détourner du droit chemin. Elle pratiquait la mendicité et prétendait dire la bonne aventure, alors qu’elle ne disposait d’aucune autorisation de commerce lui permettant de pratiquer la voyance. Elle fréquentait des individus en situation irrégulière. Elle était aussi appelée parfois « L’Egyptienne », ce qui prouve des liens avec le terrorisme islamiste et se trouve en contradiction avec les valeurs traditionnelles de la France ! Si on l’avait laissé faire, sans doute aurait-elle revêtu une burqa ! Elle avait des relations suspectes avec un individu d’origine indéterminée, nommé Quasimodo, qui a eu plusieurs fois maille à partir avec la police ! Ce personnage au nom à consonance étrangère, délinquant multirécidiviste, est un assassin, méritant d’être déchu de la nationalité française, si tant est qu’il l’ait jamais obtenue. Le tissu d’incongruités commis par ce Victor Hugo n’a d’autre but que de justifier l’insécurité causée par des bandes de rastaquouères. Confortablement installé dans ses appartements luxueux, cet intellectuel de gauche sans talent ni avenir, méprise le vrai peuple qui lui, vit au quotidien l’horreur des vols de poules et le climat de peur créé par les gens du voyage. Heureusement, malgré le chœur ridicule des hypocrites, défenseurs d’un politiquement correct affligeant, le gouvernement obtient des résultats. Ces trois derniers week-ends, des dizaines de milliers de nomades ont dû quitter la France. Leurs caravanes flambant neuves, sans doute achetées avec de l’argent sale, ont encombré les autoroutes avant de passer les frontières. Tractées le plus souvent par des grosses limousines, ces roulottes de luxe se sont enfin éloignées du territoire français. Comme une nuée de criquets pèlerins, ces romanos sont partis vers d’autres contrées, commettre leurs méfaits, là où l’ordre, la rigueur, la tolérance zéro et la détermination n’existent pas. Enfin, ils sont loin à présent. Ils ont débarrassé le plancher ! Quoi que puissent en penser et en dire les bien pensants ! Mais la vigilance ne doit pas se relâcher, faute de quoi, très vite, c’est dans l’autre sens que nous reverrons ces funestes équipages. Quelques trucs pour les reconnaître. Jusqu’au 12 juillet dernier, ils arboraient des drapeaux oranges et soufflaient dans des vuvuzuelas. La plupart du temps, à l’arrière de leurs caravanes, des vélos sont empilés, à la va comme je te pousse ! Et aussi bien sur leurs voitures que sur leurs remorques, leurs plaques d‘immatriculation affichent les deux lettres : NL.
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